Les dégâts après la guerre de Kamwena Nsapu se font toujours sentir dans l’espace Grand Kasaï. Des orphelins sont laissés pour compte, ainsi que d’autres victimes. Une dame a pensé à ces enfants sans famille.
18 mars, la rédaction tombe sur une école de fortune mise en place par une dame dans le coin connu sous l’appellation « Sha Makhindju » , dans la ville de Tshikapa. Des cours sont organisés en l’intention des enfants qui se sont retrouvés sans famille. Une initiative qui vaut appui et accompagnement.
La société civile estime qu’il est temps que les autorités nationales songent à ces futurs cadres dont la guerre a détruit l’avenir.
» Ils sont encore récupérables ces jeunes gens sans famille. Félicitations à l’initiative qui exige notre amour et compassion« , Émile Kanku
Pierre Kahambwa
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