L’intolérance politique qui emmaillote le processus électoral est déplorée par les laïcs catholiques, les ONG, la société civile ainsi que plusieurs partis politiques. Ce qui a poussé certains candidats à solliciter plus de sécurité.

03 août, la représentante spéciale du Secrétaire Général des Nations unies a indiqué à la presse que la sécurisation des candidats est l’apanage des autorités congolaises. Une réponse jugée de diplomatique par des analystes.
 » Nous savons tous que depuis l’engagement des nations unies en RDC, elles veillent à la sécurisation du processus électoral. Et la Monusco sécurise déjà certains potentiels candidats. La réponse de Bintou Keita n’est que ce qu’elle pouvait dire officiellement », Judith Savio

La société civile recommande aux nations unies de ne pas négliger l’aspect sécurisation. Pour elle, l’exemple de Delly Sessanga ainsi que d’autres prouve en suffisance qu’il y a des plans concoctés dans les officines politiques.

By Pierre Kahambwa

Journaliste | pkahambwa[@]hapamedia.net| +243815614622

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