I. Description des faits.
Alors que les étudiants épris de culture et du souci d’apprendre suivent la conférence du Professeur Émile BONGELI de l’Université de Kinshasa et icône politique de la TShopo, un groupe du personnel scientifique s’autorise de sceller les bureaux des autorités académiques, d’une institution publique de l’Etat et ceci en violation de la loi, sauf celui du Directeur Général à cause de altercations qu’il y aurait eu la veille avec son Secrétaire Général administratif autour des collaborateurs qu’il aurait attaché à son secteur sans le consulter.
II. Ce qui frappe la curiosité
Le DG signataire de l’invitation du prof Bongeli n’est venue qu’au début de la conférence pour disparaître et aussitôt l’événement se produit. Par ailleurs, quelques minutes après, ce sont les articles qui tombent dans ACP et Lumière News faisant une certaine plaidoirie. On dirait comme s’ils étaient déjà finalisés. Et comme si cela ne suffisait pas, un tract du soit disant collège d’étudiants consciencieux demandant la maintenance du DG et l’évacuation des autres membres du COGE . Le lendemain et le surlendemain, il y a eu la déclaration officielle de la coordination des étudiants et celle d’autres étudiants en image. Un geste qui prouve un certain recul et analyse des événements.





Il y a lieu de s’interroger sur l’objectif poursuivi par toutes ces déclarations, l’auteur ou les auteurs intellectuels de l’incident et la provenance des griefs formulés à l’encontre des autres membres du COGE. Faut-il encore attirer l’attention des lecteurs de la déclaration des signataires des prétendus personnels Académiques, scientifiques et du PATO : WASI, LIFONDJA et LOOLI… ? Comprenne qui pourra… !

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