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La ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU), Marie Thérèse Sombo Ayane, a exhorté les membres des comités de gestion de l’ESU à l’unité et à la cohésion.
Lors d’un entretien tenu ce lundi avec les membres du comité de gestion de l’ESU Tshopo au 4e niveau du bâtiment de l’Université de Kisangani (UNIKIS), la ministre a exprimé sa préoccupation face aux conflits internes qui minent ces structures depuis son entrée en fonction.
Madame Sombo Ayane a déploré le climat de suspicion et les accusations réciproques qui persistent parmi les enseignants, soulignant que ces divisions entravent le bon fonctionnement des institutions académiques.
En sejour à Kisangani chef-lieu de la province de la Tshopo depuis le dimanche, Marie Thérèse Sombo a clairement indiqué qu’elle n’était pas venue pour bouleverser les structures en place, mais plutôt pour accompagner le chef de l’État pour la commémoration du GENOCOST.
« je ne suis pa venu faire inspectrice, mais plutôt accompagner le président de la République pour la commémoration du Genocost dans la ville de Kisangani, ville victime. Mais depuis mon arrivée à la tête de ce ministère je sens qu’il ya quand même des problèmes. Et un peu partout, il ya des agitations. C’est pour cette raison que je voulais vous signifiez que je ne suis pas venu chambouler les choses. Nous sommes dans la continuité, mais il faudrait que les choses se fassent correctement. Donc nous devons d’abord voir ce qui est essentiel, c’est-à-dire, la vision du chef de l’Etat dans notre secteur de l’ESU qui est celui de doter notre pays d’un système performant, exclusif et équitable » a-t-elle affirmé.
Cet appel à l’unité s’inscrit dans une volonté plus large de promouvoir un environnement de travail serein et productif au sein des établissements d’enseignement supérieur. La ministre a insisté sur l’importance de la cohésion et de la collaboration pour atteindre les objectifs communs et améliorer la qualité de l’éducation.
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