Marcher à pied, prendre le risque de négocier une moto à un prix très élevé ! Voilà à quoi a ressemblé la ville de Kinshasa ce matin ! Une situation qui est attribuée à la grève des chauffeurs qui disent non aux tracasseries policières récurrentes.

Ce genre d’image, on ne la voit souvent que pendant des journée fériée. Mais ce lundi, à cause de la grève des chauffeurs des taxis, l’avenue victoire a pris un visage inhabituel, car il n’y a eu aucun taxi ce matin. Tout ce qu’on peut remarquer, c’est la présence des motards sur les arrêts et les voitures privées qui circulent sur les rues.

Cette situation laisse le monopole de transport aux motards qui en ont profité pour augmenter le prix, selon quelques passants qui ont accepté d’échanger avec nous, une thèse rejetté par les motards.

L’un parmi eux, qui signale les tracasseries des agents de l’État sur les activités des transports, cette grève fera de sorte que les autorités du pays prennent conscience de ce problème.

 » Cette grève a une raison d’être, car l’État congolais a l’intérêt d’être au courant de tracasseries que nous mords et chauffeurs des bus nous subissons «  Mord

Gêné par l’augmentation du prix de transport par les conducteurs des bus en commun, un passant se trouvant au rond-point victoire, n’a pas tenu compte de l’absence de transport. Il a choisi de parler du problème de tous les jours : l’augmentation du prix de transport.

« On ne comprend pas, pourquoi les taxis bus augmentent les prix de transport, vous pouvez imaginer de kitambo jusqu’à victoire ont nous demande 3000fc voir même 4000fc, il faut que l’État s’impose » passant

À part le rond-point victoire, c’est toutes les autres routes qui sont timides, le cas des avenues de huileries, devant la grande porte du Stade des Martyrs, habituellement mouvementé.

By Cerise Mtoro

RÉDACTEUR RADIO ET SECRÉTAIRE DE LA RÉDACTION GÉNÉRALE

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