Les textes de loi prévoient l’inviolabilité des installations du parlement. Mais la rue , la masse n’a pas d’âme. Le régime ne sait plus contrôler la fougue et la folie des quelques jeunes qui se réclament du parti présidentiel. Chez Kabila, Augustin Kabuya a nié que ce sont les membres de son parti ou de leur parti.
Des images, vidéos et témoignages tombées ce 06 Août à la rédaction, nous pouvons comprendre que le siège du temple de la démocratie, le palais du peuple a ressemblé à un lieu sans maître. Quel dommage pour le soit disant changement vanté ? Des casses , des bagarres entre soit les pro de Kabuya et ceux qui le détestent, d’après des déclarations. Ou soit de Pro ou contre Sama Lukonde. Une véritable cacophonie.
Avec toutes ces milices en pleine capitale, le pire est à craindre. Personne ne contrôle personne. Et si la police intervient, elle est intimidée et menacée. Un véritable État de non État se confirme. Ce sont les politiciens qui gagnent toujours.
Journaliste | pkahambwa[@]hapamedia.net| +243815614622