Il faut être en République Démocratique du Congo pour comprendre que la politique est dynamique. Cela veut dire dans le jargon congolais en une année on peut changer autant des partis politiques, de tendance politique ou d’idéologie. L’essentiel est que son nom soit cité parmi les ténors. A chaque deuxième mandat, on se rend compte que le temps est le vrai ennemi des politiciens congolais.
L’actualité est dominée par une prise de parole attribuée à André Alain Atundu Liongo. Il aurait affirmé que 5 ans c’est peu pour un Président de la République. Or Augustin Kabuya venait de lancer un message similaire. Ce qui fait comprendre que la révision constitutionnelle est dans les priorités de l’Union Sacrée. Pour cela, il faut activer tous les acteurs politiques.
Adolph Muzito de “l’opposition”, lançait le débat pendant que son frère Fayulu se bat pour le dialogue. Tout s’éclaircit petit à petit.
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