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Lors de la 4e édition de la Semaine mondiale de la Francophonie scientifique, tenue à Toulouse, la ministre congolaise de l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU), Marie-Thérèse Sombo Safi Ayanne, a brillamment représenté la République Démocratique du Congo (RDC).
Portant la voix du gouvernement, elle a souligné l’importance d’une formation de qualité pour la jeunesse congolaise, socle de l’avenir du pays.
Dans son intervention, la ministre a exposé la vision du président Félix Tshisekedi, qui place l’éducation au cœur du développement national. Elle a insisté sur la nécessité de former des jeunes compétents et compétitifs à l’échelle mondiale, afin de renforcer l’économie et l’innovation du pays. Selon elle, la RDC aspire à un partenariat solide avec l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), basé sur la création et la co-création d’initiatives permettant de relever les défis éducatifs du pays.

« En désagrégeant cette population plus de 65 pour cent est constitué des jeunes : une ressources humaine, fer de lance de l’ avenir de ce pays dont la formation de qualité qui rentre dans les préoccupations du Chef de l’Etat, le président Felix Antoine Tshisekedi et de son gouvernement ne peut que bénéficier de la création et de la co-création des initiatives avec l’AUF. Avec ce bénéfice de la formation de qualité pour sa jeunesse, la RDC va multiplier et augmenter les opportunités d’assumer le destin d’un pays émergent » a déclaré Marie Thérèse Sombo.
Par la même occasion, la ministre de tutelle a souligné l’apport considérable de la science, de la recherche et de la synergie entre les universités, capable de transformer le monde.
« Nous avons compris et appris qu’à travers la science, la recherche, la synergie entre les universités, le monde peut ouvrir plusieurs fenêtres, celle de paix, de la prospérité, de la croissance pour chacun et pour tous. Nous pouvons ainsi ouvrir cette fenêtre qui donnera plus de lumière et de résolution de crises contemporaines en vue de garantir aux générations actuelles et futures des espaces de l’espoir et de l’espérance d’un monde vivable pour plus d’unanimité autour de l’urgence et de la nécessité de vaincre la polycrise » a-t-elle conclut.
Ce discours, prononcé devant plusieurs personnalités de l’AUF et des représentants des pays francophones, a montré la volonté de la RDC de s’ouvrir davantage à des collaborations internationales pour améliorer son système éducatif.

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