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Le chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi vante la gestion des finances publiques après obtention de 3 milliards USD du FMI. Pour le président congolais, cet acte traduit la confiance renouvelée de la communauté internationale pour sa gestion rigoureuse et transparente. Mais ce n’est pas tout le monde qui partage cet avis du Chef de l’État.
Face aux propos du Président de la République, certains observateurs de la société civile tels que CREFDL trouvent que cette offre du FMI est une manière de renforcer la dette publique du pays. Une chose qui peut maintenir le pays dans l’endettement permanent, avec une conséquence qui est la pauvreté.
Dans son communiqué d’analyse des données économiques publié au lendemain de la validation de ce financement le centre de recherche en finances publiques et développement local (CREFDL), contrairement au propos du Chef de l’État, a fait savoir que ce financement ne saurait améliorer les conditions de vie de la population, vu que le pays souffre de l’indiscipline budgétaire.
Pour stimuler plus les investisseurs, et promouvoir la transformation locale des ressources naturelles, les projets prioritaires notamment les infrastructures, agricultures, l’énergie et les services sociaux doivent d’être placés sur le premier plan au pays., estime le CREFDL.
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