Le gouverneur de la province aura beau rassurer la population mais la force des réseaux sociaux est difficile à contrôler. Les avions Sukhoi ont bombardé le 13 Février mais des échos du terrain sont contradictoires. La population est dupée et par les Fardc et par les rebelles. La guerre médiatique floue tout le monde.
14 Février, les bruits des bottes ne sont plus loin de l’aéroport de Kavumu. La confirmation est de la société civile de Bukavu. Les rebelles auraient choisi des débordements pour inquiéter Kavumu et Bukavu. Des révélations inquiétantes ne peuvent être mises ici, la peine de mort est suspendue comme l’épée de Damoclès. Même-ci informer n’est pas un crime. Bukavu regorge des millions d’habitants, la société civile a bien compris. Chacun a des familles partout. Les nouvelles ne sont pas rassurantes pour la ville de Bukavu. Que le gouvernement communique en toute vérité.
Le carnage décrié de Goma doit être évité sinon la complicité des uns et des autres sera documentée. Ce sont les politiciens qui gagnent toujours.
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